Phare de Socoa
Le phare de Socoa
Construite en 1844, cette maison-phare de 12 mètres de haut domine la baie de Saint-Jean-de-Luz. Son optique de Fresnel et sa lampe fixe de 1 000 watts (feux scintillants blanc/rouge) lui assurent une portée de 8 à 12 milles marins selon la couleur. Il est automatisé depuis 1970.
Source: Découverte de la Corniche Basque/
Réseau Comète
"Comète" un réseau d’évasion au Pays Basque 1941-1944 [lien avec une vidéo]
Début 1941 en Belgique, Andrée de Jongh, une jeune femme de 24 ans et son compatriote Arnold Deppé, ingénieur du son de la firme de cinéma Gaumont qui a travaillé...
Socoa (le fort)
Protégeant le petit port de Socoa se trouve le Fort de Socoa, site emblématique de la baie de Saint-Jean-deLuz. Il est situé sur une avancée rocheuse battue par les vagues de l’Océan à l’entrée de la passe de Socoa, entre la digue de Socoa et celle de l’Artha. [photo © CPIE Littoral basque]
Socorri (Chapelle de)
Notre Dame de Sokorri Au cours de l’été 1627, les Anglais envahirent l’île de Ré, en face de La Rochelle, afin d’y établir une tête de pont contre le royaume français.Pour reprendre l’Île, Le cardinal de Richelieu monta aussitôt une expédition navale qui comprenait plusieurs bâtiments de la flotte hendayaise. [photo © CPIE Littoral basque]
Sorgin zilo (Loya)
En juin 1609, le juge Pierre de Lancre est nommé par le roi Henri IV pour mettre au pas les pêcheurs du Labourd qui le gênent pour imposer son pouvoir aux confins du royaume de France, alors en guerre contre l’Espagne. Le sinistre juge sème la terreur dans les villages où il organise des parodies de procès : les gens préfèrent fuir sur le versant espagnol où l’Inquisition est plus tolérante ! [photo © CPIE Littoral basque]
Tramway sur la Corniche basque
En 1912, le Conseil Général accepte le principe d’une route parallèle à la future ligne de tramway ( l’automobile club est partenaire du projet) . Inauguration en 1925 et ouverture en 1928 (chemin départemental 58)
Viviers basques
À l’origine, un hangar avait été construit à cet emplacement pour servir de base au démantèlement d’un bateau naufragé. Puis il fut converti en un lieu de stockage temporaire de coquillages et crustacés : les "Viviers basques". [photo © CPIE Littoral basque]